Le Gazon du Faing, au cœur du massif des Vosges... Parfait pour déconnecter non ?

Idées week-end

Voyage en France : notre sélection des meilleures expériences pour déconnecter

© Emilien Muller - Unsplash
  • Publié le 03/05/2021 9 minutes de lecture
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Pas facile de déconnecter en ce moment ! Les infos, les réseaux sociaux, la vie quotidienne, les obligations professionnelles.... Et pourtant, sans partir très loin de chez soi, il y a pléthore d'activités et de lieux à dénicher pour se ressourcer, faire une vraie coupure, ne serait-ce que quelques jours ou même quelques heures. On vous donne 10 expériences à tester, deconnexion garantie !

Jeûner dans la forêt de Fontainebleau

Se poser comme une fleur, planter ses yeux dans la nature, laisser en jachère son esprit, s’enraciner. Voici l’une des clés pour déconnecter son mental! Pour y arriver, direction un spot idéal situé à 45 minutes de Paris : l’immense forêt de Fontainebleau.Sur place, des parcours parfaits pour détoxifier le corps et le mental, un hébergement d’exception pensé pour le repos. Le principe est simple : on choisit son type de cure en accord avec un professionnel sur place, qui vérifie notre état de santé. On se laisse ensuite guider par le programme, assez chargé pour éviter d’avoir faim mais suffisamment léger pour que l’on puisse prendre le temps. Le matin, yoga et méditation au réveil, puis une randonnée de 3 à 4 heures. L’après-midi, on se fait chouchouter avec des soins ou on assiste à un atelier thématique (santé, alimentation, nature). Le soir, on partage un bouillon et on participe à des conférences et cercles d’échanges… Avant d’aller se coucher de bonne heure !

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En totale déconnexion, à moins d'une heure de Paris
En totale déconnexion, à moins d'une heure de Paris Alexandre Debiève - Unsplash

Ce combo forêt-marche-jeûne cumule les bons points car, vous le savez, les bienfaits thérapeutiques des arbres ne sont plus à prouver ! Tous comme ceux de la marche : elle régule la tension, oxygène les cellules, réduit le stress. Quant au jeûne, il permet de reposer, détoxifier et régénérer son organisme. Une pause nécessaire donc.

Pénétrer dans une jungle urbaine

Au cœur de Nantes, à deux pas des commerces, cafés et restaurants du très animé quartier Bouffay, l’étroit passage Bouchaud, fermé habituellement par des grilles, ne laisse rien présager de la “jungle” qu’il recèle. Un paysage végétal qui peu à peu immerge le curieux dans un véritable bain de chlorophylle… veillé par les anges trompettistes de l’église Sainte-Croix. Depuis qu’il habite dans l’un des immeubles donnant sur le passage, le plasticien Evor a entrepris de coloniser l’espace disponible sur les toits plats en contrebas avec des plantes vertes, des plus discrètes (touffes d’herbe et graminées) aux plus exubérantes (bananiers et autres végétaux des tropiques). L’effet est bluffant. L’artiste ne s’en cache pas : il aime jardiner. Il se ressource dans tout ce vert et dans le plaisir de faire pousser ces végétaux. Ce travail a commencé il y a plus de dix ans, mais la Jungle intérieure a été distinguée par le Voyage à Nantes (VAN) en 2018, devenant une œuvre pérenne du parcours artistique de la vielle. L'artiste est régulièrement aidé par des agents municipaux du service des Espaces verts de Nantes pour entretenir l'ensemble.

Dormir dans une Tiny House dans un éco-camping

Vous les avez sans doute déjà admirées sur papier glacé, étirant leurs lignes harmonieuses dans des décors naturels de rêve : les Tiny House sont les stars des magazines de décoration. Leur architecture épurée, leurs couleurs vives ou délicates, et la philosophie de vie qu’elles incarnent ont fait de ces micro-maisons nomades les chouchoutes du mouvement “slow life”. Pour éprouver la sensation d’un retour à l’essentiel, il suffit par exemple d’aller au cap d’Erquy, dans les Côtes-d’Armor, où les Tiny House ont pris leurs quartiers dans un cadre grandiose – plages de sable fin, landes sauvages, falaises abruptes.

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Habiter dans une tiny house, pour un retour à l'essentiel
Habiter dans une tiny house, pour un retour à l'essentiel Clay Banks - Unsplash

Ces microhabitats mobiles et écologiques, inaugurent une nouvelle expérimentation écotouristique. L’idée ? Repenser nos modes de vie, les notions de mobilité et le rapport à l’environnement. Vivre différemment, avec moins de confort matériel mais plus de relations sociales, dans quelques mètres carrés hyper (bien) pensés, alliant confort et esthétique. On vient donc y savourer un nouveau mode de vie, en immersion avec la nature, (presque) sans valise et sans fard.

Partager le quotidien des deux seuls habitants d’une île

Ce sont des Robinson volontaires, sur une île déserte au large du Finistère. Un jeune couple, la trentaine tout juste passée, dont la mission essentielle est d’entretenir l’île de Quéménès, en mer d’Iroise, dans le petit archipel de Molène : cultiver cette terre émergée, et, en clair, y maintenir la vie. À la belle saison, vous pourrez faire partie des happy few ayant l’occasion de passer 72 heures en maison d’hôtes au côté d’Amélie et d’Étienne, au rythme de cette nature à l’état pur : 30 hectares de liberté, livrés au vent et à la lumière. Une quinzaine de poules, une trentaine de moutons Landes de Bretagne – et comme visiteurs de passage, des dauphins, des phoques gris et des myriades d’oiseaux marins. Dans cette exploitation qui suit les préceptes de l’agriculture biologique, les bâtiments fonctionnent en autonomie énergétique et, ici, chaque geste compte. L’énergie provient de panneaux photovoltaïques et d’une éolienne ; l’eau, d’un puits et d’un système de récupération des pluies ; les déchets sont surveillés de très près ; la cuisine est faite maison (pain, yaourts, etc.) avec des produits exclusivement locaux ou régionaux. Dans le séjour, l’unique horloge de Quéménès indique les marées. Vous êtes hors du temps, en suspens entre l’air iodé, les nuages et la houle sur cette île de 1 300 mètres de long, à peine. “C’est un lieu magique, confient Étienne et Amélie. On est conscients que, de nos jours, c’est un luxe.”

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Ferme de l'île de Quéménès

Naviguer en autonomie grâce au packraft

Vous connaissez le packraft ? Non ? Et pourtant, c’est grâce à lui que vous et votre tribu allez pouvoir vous transformer en éco-aventuriers. Et pas n’importe où : dans l’environnement préservé du bassin de la Dordogne, classé réserve de biosphère depuis 2012, un label qui témoigne des efforts faits pour la préservation du paysage, des écosystèmes et de l’environnement dans cette région. Le packraft est le nouveau chouchou des amateurs de sports de plein air. Ce bateau gonflable et léger (3 kilos seulement !) se range et se transporte facilement dans un sac à dos. Vous pouvez ainsi combiner les treks dans des paysages naturels superbes, et le maniement de la pagaie sur la rivière. D’un environnement à l’autre, vous aurez de bonnes chances de croiser hérons, martins-pêcheurs, faucons, milans noirs, chevreuils, sangliers et autres espèces qui vivent dans ces paysages de Dordogne. Seuls prérequis : être en bonne condition physique (on parcourt de 15 à 30 kilomètres par jour) et avoir une appétence pour la nature et l’aventure. Pour l’hébergement, vous pouvez jouer la carte de l’aventure à fond avec un bivouac en pleine nature ou chez l’habitant, ou vous pouvez opter pour un hébergement en camping, dans un gîte ou dans un hôtel de la région.

Dormir suspendu dans le vide

Au-dessus, le ciel étoilé. À 500 mètres au-dessous, le lac d’Annecy. Devant, les montagnes. Voici votre (surprenant) hôtel pour la nuit : un lit suspendu, à flanc de paroi, du côté de Veyrier-du-Lac. Une expérience insolite qui ne nécessite pas d’être un grimpeur chevronné ni un sportif de haut niveau… mais qui ravira surtout les adeptes de sensations fortes. L’expérience dure moins de 24 heures. En fin d’après-midi, après une petite randonnée d’une trentaine de minutes à travers la forêt, au col des Contrebandiers, puis un briefing par les accompagnateurs de montagne, direction la falaise où vous passerez la nuit. Encordés, vous descendez en rappel jusqu’au camp de base. Commence alors l’installation des “portaledges”, ces lits suspendus sur lesquels il faudra s’allonger… pour dormir ou contempler le superbe panorama. On déguste une fondue savoyarde préparée par les guides. Et là, le temps lui aussi est suspendu. Le soleil se couche, les étoiles font leur apparition, on se faufile dans sa couchette, sous le duvet, solidement harnaché à son baudrier pour éviter la chute en pleine nuit. Difficile de fermer l’œil, tant l’expérience est extraordinaire, tant l’excitation est à son comble, tant le cadre est parfait. On en prend plein les yeux. Les oreilles aussi. Le silence est saisissant. Rassurez-vous, tout est sécurisé et sécurisant !

Se perdre dans les souterrains d’une grande ville

Sous les pavés lyonnais, un gruyère. Ou presque. La ville de Lyon possède un exceptionnel patrimoine caché : des galeries souterraines de plusieurs dizaines de kilomètres, percées à toutes les époques et qu’il n’est pas si aisé de visiter. En effet, la majorité est fermée pour des raisons de sécurité, comme la Ficelle des morts, la partie souterraine du funiculaire de Saint-Paul utilisé jusqu’en 1937 pour transporter les cercueils au cimetière. Seuls les sites sécurisés sont ouverts au public. L’OCRA (Organisation pour la connaissance et la restauration d’au-dessous-terre) propose la visite de deux lieux, qu’elle a en partie restaurés : la galerie de fusillade du fort de Vaise et la casemate de Montessuy. Munis d’une lanterne électrique, les visiteurs pénètrent dans les entrailles et l’histoire de Lyon, en file indienne, les galeries étant généralement assez étroites. La casemate de Montessuy, également nommée la champignonnière de Caluire, était une galerie de fusillade reliant les forts de Montessuy et de Caluire, construite pour protéger l’agglomération lyonnaise des invasions venant du nord. Elle fut ensuite réutilisée comme champignonnière au XXe siècle, puis retomba dans l’oubli. Quant au fort de Vaise, construit en 1840 sur ordre de Louis-Philippe, sa galerie est percée d’une quinzaine de meurtrières, lesquelles emmènent les explorateurs dans le passé des militaires du XIXe siècle. La Ville de Lyon propose, quant à elle, la visite de l’ancienne usine des eaux de Saint-Clair qui, jusqu’en 1976, servait à alimenter la ville en eau potable et qui compte un splendide bassin souterrain. Une plongée hors du commun et de son quotidien à expérimenter sans hésiter… Sauf si vous êtes claustrophobes !

Apprendre les bases du bushcraft

Faire du feu, construire un abri, trouver de l’eau, s’orienter… Le bushcraft, ou “l’art de vivre dans les bois”, consiste à renouer avec la nature, avec sa nature, et apprendre ainsi à survivre avec le minimum. Mais plus qu’un stage de survie, c’est une expérience qui pousse à aller “plus loin” dans la compréhension de son environnement. Le but ? Apprendre à connaître la nature et à utiliser les ressources qu’elle met à notre disposition, avec des pratiques écoresponsables. Et à savourer le silence, qu’on avait presque fini par oublier. Pas de téléphone, ni de boussole, ni de GPS, et la difficulté du séjour ira crescendo, mais l’adaptation à l’environnement se fait rapidement, on vous rassure ! Dès le premier jour, on apprend à trouver de l’eau, évaluer sa potabilité et éventuellement la traiter. Mais également à créer sa tanière, à l’aide d’une bâche, d’un vêtement ou de bois trouvé sur place, et à allumer un feu par friction avec archet ou par percussion (on se prend vite au jeu !). Les jours qui suivent, on travaille le bois : on crée ses bols, cuillères et autres assiettes à l’aide d’éléments naturels. Puis vient l’identification des plantes, un point important du séjour. Lesquelles privilégier ? Lesquelles sont les plus nutritives ? Lesquelles peuvent être utiles pour un usage médicinal ? Comment les utiliser ? Les heures et jours passent et on se reconnecte peu à peu à soi, à sa vraie nature. La dernière nuit est la plus difficile mais la plus nature : elle se déroule en véritable mode survie, sans duvet. Une expérience inoubliable.

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Le bushcraft, “l’art de vivre dans les bois”, ou comment apprendre ainsi à survivre avec le minimum
Le bushcraft, “l’art de vivre dans les bois”, ou comment apprendre ainsi à survivre avec le minimum Михаил Руденко - iStock

Observer les phoques en baie de Somme

La baie de Somme fait partie du très officiel Club des plus belles baies du monde, une association internationale qui regroupe une quarantaine de baies spectaculaires à l’échelle de la planète, dont la célèbre baie d’Along au Vietnam. Espace naturel unique en son genre, idéal pour un week-end vivifiant, la baie de Somme se caractérise par sa très grande richesse biologique, qui en fait un garde-manger géant pour de nombreuses espèces, à commencer par les oiseaux migrateurs. Mais les volatiles ne sont pas les seuls à s’épanouir dans ce sanctuaire de la nature. Le chenal qui relie la Somme à la Manche est aussi le territoire des phoques veaux marins. La colonie, la plus importante de ce genre en France, est estimée à 400 individus. Pour approcher ces mammifères dans leur habitat naturel, sans les effrayer, rien ne vaut une balade en kayak de mer ou en pirogue, un mode de déplacement doux, silencieux et respectueux de l’environnement. Au départ de Saint-Valery-sur-Somme, guidé par un naturaliste, on pagaie une petite heure avant d’apercevoir les bancs de sable où les phoques se prélassent et se réchauffent. À terre, ces animaux dodus et patauds, qui peuvent mesurer jusqu’à 2 mètres, se déplacent maladroitement en se dandinant. Lorsque la marée monte et recouvre les bancs de sable, ils se transforment en d’agiles lutins parfaitement aquatiques. Ils s’immergent alors pour chasser les mulets, dont ils sont friands, avec une étonnante dextérité. Ils ont la particularité d’être curieux ; si on siffle, ils n’hésitent pas à sortir leur tête de l’eau à quelques mètres des embarcations pour voir ce qu’il se passe !

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La plus grande colonie française de phoques se trouve dans la Baie de Somme
La plus grande colonie française de phoques se trouve dans la Baie de Somme Philippe Paternolli - iStock

Se prendre pour un trappeur dans les Vosges

En hiver, le massif vosgien prend des allures de Grand Nord, lorsqu’un épais manteau neigeux tapisse les “ballons” et les immenses forêts de conifères. Un décor que n’aurait pas renié Jack London... Cet univers nordique, très inspirant, stimule l’imaginaire… et donne envie de se prendre pour un trappeur. C’est justement l’expérience que propose La Clairière aux Cabanes, sur les hauteurs de La Bresse, dans le département des Vosges. Sur ce site en pleine nature, plusieurs hébergements insolites sont disponibles, sous la forme de chalets en bois. Coup de cœur pour la Fuste du Trappeur, une cabane façon canadienne réalisée avec des rondins d’épicéas et de sapins issus des forêts locales. Aucun risque de prendre froid dans ce cocon douillet : l’isolation est assurée par de la laine de mouton et de la laine de bois. Si la neige est présente, on part effectuer une randonnée en raquette dans les forêts de conifères avoisinantes, pour s’imprégner du grand silence de la nature. De retour au gîte, on passe en mode “détente” en profitant d’un bain finlandais extérieur ou en se pelotonnant devant le feu de cheminée. À chaque saison, le spectacle est différent. En été, on observe des chevreuils, des cerfs et des renards. Un séjour atypique placé sous le signe du bien-être.

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"Il y a un temps pour tout : un temps pour la connexion - et la période récente en a plus que jamais montré le caractère essentiel - un autre pour lever les yeux. C’est partant de cette idée que nous avons voulu cette invitation à un usage raisonné du mobile comme une forme d’hommage au réseau d’Orange numéro 1 en qualité depuis une décennie. Car la seule déconnexion qui soit heureuse est celle que l’on choisit, or la capacité à déconnecter suppose que l’on soit bien connecté !Il est temps de déconnecter avec Orange et Lonely Planet !"Quentin Delobelle, Directeur de la Communication Commerciale et de la Création Orange France

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