Québec

Transport Québec

Comment aller au Québec ?

Entrer au Québec

L’entrée au Québec se fait sans complication. Les Français, les Belges, les autres ressortissants des pays de l’Union européenne, ainsi que les Suisses, n’ont pas besoin de visa pour un séjour au Canada entre trois et six mois.

Si vous arrivez en avion, vous devrez accomplir les formalités d’entrée (muni de la carte de déclaration remplie pendant le vol) et présenter votre passeport. L’agent des services frontaliers vous posera ensuite quelques questions sur l’objet et la durée de votre séjour, puis vous passerez au service des douanes. Le personnel des douanes et de l’immigration, assez strict, pose parfois quantité de questions. Sachez qu’il l’est souvent davantage aux frontières terrestres ; on fouillera volontiers vos bagages ou votre véhicule si vous arrivez des États-Unis. Consultez le site Citoyenneté et Immigration Canada pour obtenir davantage d’informations.

Aller au Québec par avion

Il existe de nombreux vols directs et quotidiens de Paris vers Montréal, d’une durée de 7 heures 40 environ. La haute saison correspond en principe aux vacances scolaires françaises. Les prix les plus élevés se situent autour de Noël, les plus bas en novembre, avril et mai. En été, les prix se situent entre les deux extrêmes, hormis de la mi-juin à la mi-août où ils connaissent une hausse sensible.

Aéroports

La principale porte d’entrée au Québec est l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal, même si l’aéroport international Jean-Lesage de Québec est desservi par des vols directs depuis Paris et les principales villes de province.

Depuis/vers la France

Les principales compagnies canadiennes desservant Montréal sont Air Canada et Air Transat. Depuis la France, vous pourrez aussi vous adresser à Air France et British Airways, Swissair et KLM assurent également des liaisons régulières et quotidiennes avec Montréal, via Londres, Amsterdam ou Zurich. Toute l’année, Air Transat propose des vols directs entre Montréal (et parfois Québec) et plusieurs villes de province, notamment Lyon, Nice, Marseille, Nantes et Toulouse.

À titre indicatif, les tarifs d’un aller-retour entre Paris et Montréal varient entre 400 et 1 200 €, selon les compagnies et les mois de départ, le prix moyen se situant autour de 600 €.

Vous trouverez ci-dessous des adresses de transporteurs et d’agences de voyages :

Depuis/vers la Belgique

Le prix moyen d’un billet aller-retour entre Bruxelles et Montréal se situe autour de 750 €, les tarifs pouvant varier de 450 à 1 050 € selon les compagnies et la période.

Voici une liste d’agences et de transporteurs recommandés au départ de la Belgique :

Depuis/vers la Suisse

Le prix moyen d’un billet aller-retour entre Genève et Montréal se situe également autour de 750 €, les tarifs pouvant varier de 550 à 1 800 € selon les compagnies et la période.

Voici trois agences à partir de la Suisse :

Aller au Québec en Bus

Les réseaux de bus Greyhound et Adirondack relient de nombreuses villes des États-Unis à Montréal, avec toutefois un changement de bus à la frontière ou dans la ville la plus proche.

Outre Greyhound Canada et Orléans Express (www.orleansexpress.com), la compagnie Maritime Bus relie le Québec aux provinces maritimes du Canada.

Rejoindre le Québec en train

Amtrak assure des liaisons entre les États-Unis et Montréal tandis que VIA Rail sillonne la province.

Rejoindre le Québec en voiture ou moto

Le réseau autoroutier américain est relié tout le long de la frontière au réseau canadien qui, à son tour, rejoint la Transcanadienne plus au nord. Pendant les mois d’été, les principaux points de passage de la frontière sont très fréquentés les vendredis et les dimanches, lorsque les amateurs de shopping, les vacanciers et les visiteurs convergent à la même période. Les retours peuvent être difficiles lors des longs week-ends de vacances estivales. Les points de passage secondaires sont toujours calmes.

Comment circuler au Québec ?

La voiture constitue certainement le meilleur moyen pour se déplacer au Québec et son coût reste accessible, même pour les petits budgets lorsque sa location est partagée entre plusieurs personnes. Compte tenu de l’immensité du territoire québécois et des distances à parcourir, faites des choix lorsque vous établirez votre itinéraire.

Cependant, si votre budget ne vous le permet pas, le réseau de bus existant couvre correctement la province en reliant les principales villes. Voyager en bus revient moins cher que le train qui, en dehors des grands axes, n’assure pas, ou assez mal, le transport des passagers. Si, dans bien des pays d’Europe, on peut tout à fait sauter dans un bus ou un train sur un simple coup de tête, au Québec, ce n’est possible que dans les villes de Montréal et de Québec. Enfin, certains déplacements en train comme le parcours pour remonter jusqu’en Abitibi ou au Labrador constituent des voyages en soi.

Se déplacer en avion au Québec

Les vols intérieurs sont onéreux. Néanmoins, cette solution peut être choisie par ceux qui ont davantage de moyens que de temps. Les tarifs sont fluctuants. Adressez-vous directement à la compagnie ou passez par l’intermédiaire d’une agence de voyages. Aujourd’hui, dans le paysage aérien canadien, l’époque est à la concentration, Air Canada ayant absorbé plusieurs compagnies.

Air Canada Jazz dessert ainsi depuis Montréal et Québec les aéroports de Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Mont-Joli, Gaspé, îles de la Madeleine, Baie-Comeau et Sept-Îles. Un aller-retour Montréal-Québec débute autour de 275 $, et peut revenir jusqu’à 700 $, taxes incluses.

Pascan Aviation est la compagnie aérienne reliant le mieux les régions éloignées entre elles. Depuis la région montréalaise, leurs vols sont toutefois peu pratiques : leur aéroport de départ se trouve à Saint-Hubert, une banlieue au sud-ouest de Montréal donc l’accès est difficile en transport public.

Une plus petite compagnie vient compléter l’offre panquébécoise : Air Liaison.

Trois compagnies assurent par ailleurs des vols réguliers pour le Grand Nord : Air Creebec  dessert notamment Chibougamau, Val-d’Or et Wemindji à partir de l’aéroport Trudeau à Montréal. Air Inuit  et First Air relient quant à elles tous les villages inuits du Grand Nord.

Les villages de la basse Côte-Nord sont desservis par Air Labrador. Provincial Airlines permet de rallier les villes du Labrador depuis Sept-Îles et Blanc-Sablon.

Circuler au Québec en bateau

Le Saint-Laurent, les innombrables rivières et les lacs du Québec combleront vos envies de navigation et d’exploration. La Côte-Nord peut ainsi se découvrir entièrement en bateau en empruntant depuis Rimouski celui de la compagnie Relais Nordik Inc

Le long du Saint-Laurent, vous trouverez des traversiers pour passer d’une rive à l’autre. En voici la liste : Québec-Lévis ; Saint-Siméon (Charlevoix)-Rivière-du-Loup (Bas-Saint-Laurent) ; Forestville (Côte-Nord)-Rimouski (Bas-Saint-Laurent) ; Baie-Comeau ou Godbout (Côte-Nord)-Matane (Gaspésie) ; Trois-Pistoles (Bas-Saint-Laurent) et les Escoumins (Côte-Nord). À cela s’ajoute la grande traversée jusqu’aux Îles-de-la-Madeleine.

Certains fonctionnent à l’année, d’autres sont saisonniers (pour de plus amples détails, reportez-vous aux chapitres régionaux). Les réservations, lorsqu’elles sont possibles, sont toujours conseillées, surtout pour des liaisons très fréquentées.

Certains parcours sont gratuits comme celui entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, entre L’Isle-aux-Grues et Montmagny ou entre Saint-Joseph-de-la Rive et l’île aux Coudres.

Se déplacer en bus

Les bus vous conduiront presque partout à moindre coût que les trains. Ils sont propres et confortables. En outre, ils respectent à la minute près leurs horaires. Chaque région a sa compagnie de bus. Sachez toutefois que les fréquences restent limitées à une, deux ou trois liaisons par jour, à l’exception de certaines lignes interurbaines.

Dans toutes les villes du Québec, les compagnies d’autobus (à de rares exceptions près) empruntent les mêmes gares routières, si bien que l’on peut y prendre une correspondance, même en changeant de compagnie. Dans les petites villes et les villages, la gare n’est souvent que le parking d’une station-service ou de l’épicerie locale, qui assure le service de billetterie. La possibilité de s’asseoir à une place donnée repose sur la règle “premiers arrivé, premier servi”. Il est interdit de fumer.

Arrivez toujours à la gare environ une demi-heure avant le départ pour acheter votre billet. Vous pouvez également vous le procurer longtemps à l’avance, ce qui ne dispense pas de faire la queue pour entrer dans le bus. Les tarifs sont souvent moins chers qu’au guichet.

Les week-ends fériés, le vendredi soir ou pendant les périodes de vacances, les gares d’autobus peuvent être bondées. Nous vous recommandons d’arriver tôt ou d’acheter votre billet à l’avance, le cas échéant.

Pour les trajets plus longs, demandez toujours s’il y a un bus direct ou express. En effet, sur certains trajets, les bus sont directs, tandis que sur d’autres, ils s’arrêtent plusieurs fois. Le prix est généralement le même sur les express.

Dans la majorité des grandes gares routières, vous trouverez des consignes automatiques fonctionnant avec des pièces de monnaie, ainsi que des cafétérias ou restaurants.

Les grandes compagnies d’autobus au Québec sont Orléans Express et Intercar. Il existe en outre d’autres lignes provinciales, régionales et locales. Les services sont indiqués dans ce guide.

Les étudiants et seniors bénéficient généralement d’une réduction de 15% sur un billet aller, et les enfants de -12 ans de 50%.

Faire du stop au Québec

Ce type de moyen de transport n’étant jamais totalement sûr dans aucun pays du monde, nous ne le recommandons donc pas. Cela, dit, le risque est minime au Québec, et vous verrez peut-être des auto-stoppeurs dans les régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et sur la Côte-Nord, où la pratique est plus courante. Faire du stop à deux, un homme et une femme, est préférable.

Aux environs des villes, choisissez soigneusement l’endroit où vous allez vous installer pour “faire du pouce”, comme on dit au Québec. Faites en sorte d’être visible, et de vous placer à un endroit où les automobilistes peuvent facilement s’arrêter. Ne vous placez pas au bord des voies express à plusieurs files. Il est interdit de faire du stop directement sur les voies rapides.

Circuler en train au Québec

Le train revient plus cher que le bus et n’est pas plus rapide. VIA Rail Canada gère tous les trains de voyageurs au Canada. Le terme VIA est devenu synonyme de voyages en train, et c’est lui qui figure sur les panneaux, en ville, pour indiquer la direction des gares.

Les trains sont les plus fréquents (de trois à cinq par jour) dans la région formée par Québec et Montréal, en raison de sa forte densité de population. D’autres destinations, comme Gaspé, ne sont desservies que deux ou trois fois par semaine, selon la saison.

Autres compagnies ferroviaires

La ligne opérée par Tshiuetin Rail Transportation part de Sept-Îles (dans la région de la Côte-Nord) et permet de rejoindre le Labrador en 8 heures et Schefferville en 12 heures. Ce trajet particulier demande toutefois une grande préparation.

Amtrak est l’équivalent américain de VIA Rail Canada. Vous trouverez, dans la plupart des gares ferroviaires canadiennes, des cartes d’abonnement à des prix intéressants et de nombreuses informations sur les services proposés par Amtrak, qui assure la liaison également la liaison Montréal-New York.

Faire du vélo au Québec

Ce moyen de transport est très populaire à la ville comme à la campagne. De nombreuses voies sont aménagées le long de la célèbre Route verte du Québec, qui relie la plupart des agglomérations, les parcs et les régions du Québec. Celles-ci permettent de circuler en toute sécurité.

Montréal peut se visiter entièrement à vélo. Vélo Québec fournit toutes les informations souhaitées en la matière.

Les offices de tourisme pourront vous renseigner (reportez-vous aux chapitres régionaux). Ils vous fourniront également de bonnes cartes. La longueur et la difficulté des trajets sont très variables. Dans les parcs nationaux, vous pouvez partir plusieurs jours et réserver votre hébergement dans des chalets. Parfois vous pourrez faire suivre vos bagages.

Les magasins de cycles sont également de bonnes sources d’information. Comptez en moyenne 30 $ pour une location à la journée.

VIA Rail autorise le transport de votre vélo à bord des trains dotés de wagons à bagages.

Un road trip en voiture ou moto

La voiture, à bien des égards, se révèle le moyen de transport le plus commode et le moins onéreux. Les routes sont en général entretenues et bien signalisées. Dans les offices de tourisme provinciaux, vous pourrez vous procurer gratuitement les cartes routières de chaque région.

Les autoroutes sont gratuites au Québec, mais la traversée de certains ponts est parfois facturée (une somme toutefois modique).

Dans les grandes villes, la circulation aux heures de pointe – surtout vers 17h et le vendredi – peut être particulièrement difficile, surtout à Montréal. Le tarif des aires de stationnement est en général élevé.

Avant de partir, vérifiez que votre assurance vous couvre à l’étranger.

Automobile club

Connu sous le nom de Canadian Automobile Association, ce club s’occupe de l’assistance aux personnes possédant une voiture achetée au Canada. Il existe différents niveaux d’assistance opérationnelle 24h/24.

Le CAA organise également des excursions ou donne des conseils. Le personnel de l’agence locale vous aidera à tirer le meilleur parti de votre parcours et vous proposera des cartes.

En principe, si vous possédez une voiture en bon état, vous n’aurez pas besoin de faire appel à CAA. Inversement, les frais de dépannage étant élevés, deux pannes suffisent à rentabiliser votre adhésion.

Covoiturage au Québec

La société de covoiturage Amigo Express  est certainement la plus utilisée au Québec, mais elle requiert un numéro de téléphone canadien. Elle ne possède pas de bureaux – tout se déroule sur leur site Web.

Les sites de petites annonces Kijiji et Craigslist ont une section dédiée au covoiturage, mais ils sont en général moins sûrs que les agences spécialisées. Enfin, si vous possédez un compte Facebook, de plus en plus de groupes rassemblent les covoitureurs fréquents par région.

Code de la route

Les Québécois roulent à droite et utilisent le système métrique pour mesurer les distances. La ceinture de sécurité est obligatoire pour tous les passagers. Sur les autoroutes, la vitesse est limitée à 100 km/h, sur les routes à 60, 70, 80 ou 90 km/h, dans les villes à 50 ou 30 km/h. Les amendes pour non-respect des limitations de vitesse et sanctionnant l’usage du portable au volant sont lourdes et les contrôles, très fréquents.

  • Quelle que soit votre position sur la chaussée, vous devez donner priorité aux autobus de transport en commun. Vous devez aussi absolument vous arrêter lorsque les cars de ramassage scolaire ont leurs clignotants allumés et que le panneau « Arrêt » s’affiche : cela indique en effet que le car va s’immobiliser pour faire monter ou descendre les enfants. Toute infraction à cette seconde règle est immédiatement sanctionnée et constitue l’infraction routière la plus sévèrement réprimée au Québec.
     
  • Lorsque vous abordez un croisement, soyez par ailleurs très attentif à la signalisation. Les feux de signalisation sont toujours installés après le carrefour que votre véhicule s’apprête à franchir et sont en général situés en hauteur au-dessus de vos têtes et non sur les côtés. Une ligne blanche tracée sur la route indique l’endroit où vous devez impérativement arrêter votre véhicule : son tracé est toujours placé plusieurs mètres avant le feu de signalisation.
     
  • Lorsque vous voyez un panneau “Arrêt” (l’équivalent du stop en France), marquez effectivement l’arrêt : la priorité à droite n’existant pas au Québec, on ne repart qu’en fonction de l’ordre d’arrivée au carrefour. Lorsque vous parvenez à hauteur du stop ou du carrefour, notez doncl’ordre d’arrivée des véhicules avant de vous engager.
     
  • Un feu rouge ou orange clignotant à un carrefour signifie qu’il faut marquer un arrêt et regarder à droite puis à gauche avant de s’engager.
     
  • Théoriquement, on roule en codes. Dans les voitures récentes, ils s’allument automatiquement dès que le contact est mis. À noter aussi que les véhicules loués sont souvent équipés de la fonction “Cruise Control” permettant de stabiliser sa vitesse. Cette fonction s’annule dès que l’on effleure la pédale de frein ou que l’on appuie sur le bouton “off” situé sur le volant. De manière générale, n’hésitez pas à poser toutes les questions sur le fonctionnement de votre véhicule de location au moment de le louer.
Danger sur les routes

Par temps de neige, assurez-vous d’avoir les pneus d’hiver adéquats. Pendant les périodes de grand froid, ayez toujours dans votre voiture une bougie, un briquet ou des allumettes, une couverture, une lampe de poche, une pelle et une raclette pour dégager les vitres de votre véhicule. Une simple bougie allumée dans l’habitacle suffira à maintenir une certaine température.

Ayez le réflexe de vérifier que vous ayez suffisamment de liquide lave-glace. Faites aussi le plein avant même que votre réservoir soit à moitié vide et dès que vous projetez de traverser certains parcs ou réserves, dépourvus de postes à essence. En outre, assurez-vous que le véhicule que vous conduisez est en bon état et prenez quelques outils et pièces de rechange, ainsi que de l’eau et des vivres.

Les animaux sauvages, tels que les cerfs de Virginie et les orignaux, représentent un danger potentiel sur les routes, surtout à la tombée du jour, la nuit et au petit matin. Dans les régions où vous rencontrerez des panneaux mettant en garde les automobilistes contre l’éventuelle présence de ces animaux, restez vigilant. Souvent, les phares des voitures semblent les hypnotiser, et ils restent debout au milieu de la route. Essayez de faire des appels de phares tout en klaxonnant.

Pour connaître l’état des routes, hiver comme été, appelez les informations routières. Durant la période estivale, les routes endommagées par le dégel font l’objet de travaux. L’hiver, il est toujours recommandé de s’informer sur la météo.

Enfin, lorsque vous vous garez, faites très attention : le stationnement est parfois interdit la nuit dans certaines rues ou dans les périodes de déneigement. Regardez toujours attentivement les panneaux qui indiquent les côtés et les temps autorisés.

Location de voiture au Québec

Les agences de location de voitures sont présentes dans tout le pays. Les principales sont Hertz, Avis, Budget, Alamo et National, mais il en existe bien d’autres. Les plus importantes pourront vous réserver une voiture dans n’importe quel point de location de la province. Elles sont aussi représentées dans presque tous les aéroports. Vous aurez besoin d’une carte de crédit pour louer une voiture. Tous les véhicules loués possèdent une boîte de vitesses automatique.

L’âge minimum pour louer une voiture est 21 ans. Si vous êtes âgé de moins de 26 ans, on peut vous demander de contracter une assurance supplémentaire, mais les primes requises ne sont pas très élevées.

Sur place ou depuis votre pays, il est toujours conseillé d’opter pour une location en kilométrage illimité, puisque les distances à parcourir au Québec sont grandes et que les kilomètres supplémentaires pourraient faire doubler votre facture.

Le prix de l’essence fluctue énormément depuis quelques années et tourne actuellement autour de 1,10 $ le litre en moyenne. Les voitures fonctionnant au gazole (diesel au Québec) sont rares, mais on en trouve un peu partout. Les stations d’essence acceptent les cartes de crédit ; nombre d’entre elles sont des self-services, ouverts 24h/24.

Les enfants de moins de 18 kg doivent occuper un siège de sécurité dans les voitures et porter une ceinture.

Permis de conduire au Québec

Le permis de conduire français est valable au Canada, mais si vous pensez vous rendre dans une province anglophone – en Ontario, par exemple –, le permis de conduire international peut être utile.

Si vous restez plus de trois mois dans la province, mieux vaut avoir un permis de conduire international pour être parfaitement en règle avec les autorités.

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