Asakusa, le cœur historique de Tokyo
Les quartiers à l’est de la capitale, jusqu’aux rives du Sumida- gawa, évoquent le vieux Tokyo, avec leurs beaux jardins, leurs restaurants traditionnels et leurs boutiques d’artisans. Même si Asakusa s’est tourné vers le tourisme, il conserve en grande partie son authenticité. On peut voir des restaurants établis de longue date autour du Sensō-ji, le plus ancien des temples de Tokyo. En longeant le Sumida-gawa vers le sud, vous arrivez à Kuramae, le quartier de l’artisanat moderne.
Toujours plus au sud se trouve Ryōgoku. Dans ce quartier se déroulent les tournois de sumo, le sport national, trois fois par an. Assistez à un combat pour voir la démonstration de force et les rituels shintoïstes liés à ce sport. Même s’il n’y a pas de tournois, le quartier attire les visiteurs pour son chanko-nabe, un ragoût hypercalorique consommé par les sumos, et le vaste musée Edo-Tokyo, qui vous fait découvrir l’histoire de Tokyo.
Que faire dans le quartier d'Asakusa à Tokyo ?
Commencez votre promenade historique à la station Asakusa de la ligne Ginza et suivez les panneaux qui mènent à la Kaminari-mon (porte de la Foudre). Juste à l’extérieur de celle-ci, vous apercevez de l’autre côté de la rivière l’étonnante architecture contemporaine du Super Dry Hall. Descendez ensuite la rue commerçante Nakamise-dōri jusqu’au Sensō-ji. Prenez le temps d’explorer le temple et le sanctuaire voisin Asakusa-jinja, avant un déjeuner de tempura au Daikokuya.
En vous baladant le long des ruelles pittoresques d’Asakusa, profitez-en pour visiter le Chingo-dō, le musée de l’Artisanat traditionnel, le musée du Taiko et les boutiques d’objets artisanaux. Une pause café chez Ef vous redonnera des forces, à moins que vous ne préfériez vous délasser à la japonaise au Jakotsu-yu, le sentō voisin.
Dînez comme à l’époque d’Edo au Komagata Dojō ou régalez-vous d’un copieux okonomiyaki au Sometarō. Une fois rassasié, prenez la ligne Tōbu Sky Tree ou un taxi jusqu’au Tokyo Sky Tree, sur l’autre rive. Là, montez dans l’ascenseur au 4eniveau pour atteindre les plateformes d’observation à 350 m, d’où la vue semble infinie.
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