Île de Pâques (Rapa Nui)

Peu d’endroits au monde sont aussi empreints de mystère que ce confetti de terre, l’un des lieux les plus isolés de la planète. Difficile ici de se sentir connecté au Chili, à plus de 3 700 km à l’est de l’île, et, a fortiori, au reste du globe. Connue pour ses statues géantes, les moai, l’île de Pâques (Rapa Nui pour ses habitants d’origine polynésienne) possède une aura quasi mystique. Plus qu’un musée à ciel ouvert, l’île et les eaux qui l’entourent sont un site fabuleux pour pratiquer la plongée, le snorkeling et le surf ; rien de mieux que la marche, le vélo ou l’équitation pour découvrir la beauté sauvage des lieux. Et si le farniente a votre préférence, de superbes étendues de sable blanc vous attendent. En dépit d’une renommée mondiale et d’une fréquentation en hausse, désormais mieux contrôlée, tout ici reste simple, accueillant, à taille humaine et propice à un tourisme durable.

Quand partir

• Janvier-mars Hébergements pris d’assaut et prix au plus haut lors du festival Tapati Rapa Nui.
• Juillet-septembre Temps un peu frais pour la baignade, mais agréable pour la randonnée et les balades à cheval.
• Avril-juin et octobre-décembre Saisons intermédiaires aux  conditions climatiques agréables.

À ne pas manquer

1. Rano Raraku, la carrière d’où sont issus les moai, pour une leçon d’archéologie in situ.
2. Les moai d’Ahu Tongariki.
3. Une sieste sous les palmiers de la plage d’Anakena.
4. Le village cérémoniel d’Orongo, perché au bord du cratère du Rano Kau.
5. La beauté sauvage de la côte nord, peu fréquentée, à parcourir à pied.
6. Une sortie snorkeling ou plongée dans les eaux limpides de Motu Nui.
7. Les sentiers de randonnée à la découverte des grottes et des cônes volcaniques de la venteuse Península Poike.
8. Une balade à cheval sur les flancs du Maunga Terevaka, un volcan éteint.