Mexico

Suprema Corte de Justicia

Le muraliste José Clemente Orozco a réalisé en 1940 quatre panneaux au deuxième niveau de l’escalier central de la Cour suprême, dont deux sur le thème de la justice. Sur le même sujet, La historia de la justicia en México (L’Histoire de la justice au Mexique), une œuvre plus contemporaine due à Rafael Cauduro, couvre 3 niveaux de l’escalier sud-ouest du bâtiment.

Exécutée dans le style hyperréaliste cher à Cauduro, cette série (également appelée Les Sept pires crimes) dresse le catalogue des crimes perpétrés par l’État contre les citoyens, et notamment la pratique persistante de la torture pour obtenir des “aveux”. À l’angle sud-est du bâtiment, La búsqueda de la justicia (La Quête de justice), d’Ismael Ramos Huitrón, pose un regard sur le combat incessant des Mexicains pour que la justice fasse son travail. L’artiste mexicano-japonais Luis Nishizawa a fait de même avec La justicia (La Justice), œuvre empreinte de réalisme social qui orne l’escalier nord-ouest. L’Américain George Biddle a peint pour sa part La guerra y la paz (La Guerre et la Paix) au premier niveau de l’escalier principal, peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Entrée sur présentation d’une pièce d’identité avec photo.

Cour suprême ; 55-4113-1000 ; Pino Suárez 2 ; 9h-17h lun-ven ; Zócalo

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