Surnommé El Caracol (l’escargot) par les Espagnols à cause de son escalier en colimaçon, cet observatoire au sud de l’Osario est l’un des édifices majeurs les plus fascinants de Chichén Itzá (hélas, on ne peut pas y pénétrer). Sa forme circulaire évoque certaines structures du plateau central – mais pas celles de la toltèque Tula, contre toute attente.
Des masques du dieu de la Pluie Chac surmontent les quatre portes extérieures orientées selon les points cardinaux. La position des fenêtres de la coupole de l’observatoire correspond à l’apparition de certaines étoiles à des dates précises. Les prêtres déterminaient ainsi la date appropriée aux rituels, aux célébrations, et aux semailles et récoltes du maïs.
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