Ce lion à l’agonie sculpté en 1820 dans la paroi rocheuse par Lukas Ahorn rend hommage aux centaines de gardes suisses massacrés le 10 août 1792 aux Tuileries à Paris alors qu’ils tentaient de défendre le palais contre les révolutionnaires. Mark Twain le qualifia de “morceau de pierre le plus triste et le plus bouleversant du monde”.

Löwendenkmal ; Denkmalstrasse
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