Chalutiers au mouillage, retours de pêche, empilements de casiers sur les quais : le port de pêche, au cœur de la ville, constitue à lui seul un spectacle permanent, même s’il connaît des jours difficiles. La criée, qui assure la vente du produit des pêches aux mareyeurs, a un avenir incertain et pourrait être rattachée à celle de La Turballe si l’équilibre financier n’est pas atteint. La flotte croisicaise se compose aujourd’hui d’une trentaine de bateaux, ramenant langoustines, coquilles Saint-Jacques, crevettes, tourteaux, soles, bars, etc. La criée (en général aux petites heures du matin) est interdite au public.

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