Cette église baroque de 1751 a pour architecte Nicolis di Robilant, tandis que Lombardi réalisa sa façade néoclassique en 1828. L’église doit sa célébrité à son rachat par la confrérie turinoise de la Miséricorde qui avait pour tâche d’assister les condamnés à mort. Encore aujourd’hui, le registre des condamnés, les capuchons noirs, le “verre” pour la dernière gorgée et un crucifix sont conservés dans des reliquaires. Prêtez attention au maître-autel de Francesco Benedetto Feroggio.
Via Barbaroux 41 ; fermé pour travaux lors de la rédaction de ce guide ; 5, 51, 52, 67Le catalogue des éditions Lonely Planet
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