Chine

Jílín

Pourquoi y aller

Jonglant avec l’ancien et le moderne, villes industrielles et espaces naturels, le Jílín (吉林) est une province fort séduisante. Le voyageur y découvrira une architecture d’influence japonaise sur les traces de l’empereur fantoche Puyi, mais aussi les ruines d’un ancien royaume coréen. La préfecture coréenne autonome, peu connue et peuplée de plus d’un million de Coréens, occupe la majeure partie de cette région aux confins orientaux du pays. Kimchi et nouilles froides figurent sur toutes les cartes, et les étrangers sont bien accueillis.

Oubliez les villes industrielles qui ponctuent la province, pour leur préférer ses stations de ski et, surtout, la plus grande réserve naturelle de Chine. Là, le splendide et bien nommé lac Céleste, dont les eaux d’un bleu profond occupent un cratère volcanique, compte parmi les merveilles naturelles du pays. Si le Jílín peut être rude par endroits, les joyaux qu’il recèle vous récompenseront au centuple.

Quand partir

  • Juin-septembre Meilleure saison pour explorer la réserve naturelle de Chángbái Shān.
  • Juillet-août Les paysages de la région coréenne autonome sont alors les plus beaux.
  • Novembre-mars C’est la saison du ski dans la station de Běidàhú.

À ne pas manquer

  1. La plus grande réserve naturelle de Chine, Chángbái Shān, et son lac Céleste, fort bien nommé
  2. La station de ski de Běidàhú, l’un des premiers domaines skiables du pays
  3. Les vestiges de l’ancien royaume de Koguryo, à Jí’ān, au bord du Yālù
  4. La vie du dernier empereur de Chine, dans le palais de l’État mandchou, à Chángchūn
  5. La riche culture sino-coréenne à Yánjí

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